Je n'avais plus rien dans mon frigo de mon appartement alors je pris l'initiative de me rendre au bar afin de manger un petit truc. J'enfilais une marinière rayée bleue et blanche moulante, une jupe allant du dessous de ma poitrine jusqu'au dessus de mes genoux, une paire de compensées raynées bleues et blanches, laisant entrevoir quelques doigts de pieds recouverts de mon vernis bordeaux. Je pris un sac en cuir noir,une montre et divers bracelets accompagnés d'un sautoir, une paire de lunettes de soleil, laissait mes cheveux ondulés sur mes épaules et m'y rendis à pattes. J'y arrivais quelques minutes plus tard et prit place sur le comptoir. Je sirotais ma bouteille en attendant le plat de résistance. Je regardais la télévision qui crachait les infos de 13h00 lorsuqe j'apperçu le reflet d'une femme qui me fixait. Je me retournais prestemment afin de la voir mais elle n'était plus là. Bizarre, il fallait vraiment que je me repose. Je fit un 90° pour me refixer devant la télé mais elle était là, plantée devant moi. Je sursautais légèrement en reposant ma bouteille sur le comptoire, essuyant au passage les quelques gouttes qui avaient débourdées d'une revers de la main. Je la regardais. Elle était sublime. Je lui demanda ensuite ce qu'elle voulait, méfiante.

Il faisait chaud aujourd'hui et j'avais envie de sortir prendre l'air, je mis une jupe tailleur noire, montant jusqu'au dessous de ma poitrine, fendu jusqu’au haut de ma cuisse, avec un chemisier blanc et une veste noir cintré en mode bon chic bon genre accompagné d'escarpin sexy de 11cm de talon, je recouvris mes lèvres d'un rouge flamboyant, mis de l'aleyneur sur mes yeux, du mascara avec du far à joue, j'étais grave sexy y compris sous mon tailleur, hé oui je ne faisait pas les choses à moitié, même mes dessous étais sexy enfin il étai sexy sur moi. Plus d'un mec se retournerez certainement sur moi. Un fois prête mes cheveux relevé, mes bijoux enfiler, j’attrapai mon sac à main et partis faire un tour au Crazy, un bar classe et branché. Je pris place a une table et me fit servir rapidement. Je vis une jeune femme au bar qui siroter son verre, elle se retourna mais j'avais changer de place j'étais juste derrière elle, puis elle se retourna et me vis elle sursauta légèrement reposa sa bouteille sur le comptoir du bar. Elle essuya au passage les quelques gouttes qui avaient débordées sur le revers de sa main. Elle me regardait l'air de dire qu'es tu veux. Elle était magnifique et me fis penser à moi dans ses manières, ses geste, ses mimiques.. Elle me demanda ce que je voulais, d'un aire méfiante. Je la regarda alors hautainement puis le Barmen me tendis une enveloppe, que je pris quelques liasses de billet si trouvé à l'intérieure. Le barmen m'offrit alors une bouteille de son meilleur champagne puis je regardai alors la jeune femme qui me faisait penser à moi et lui proposa de se joindre à moi pour diner et gouter cette délicieuse bouteille.

Elle me regarda avec l'air d'une femme qui sait ce qui veut et qui a l'habitude de commander. Le barmen s'approcha ensuite d'elle et lui remit une enveloppe. Elle s'en saisi et en sorti une bonne poignée de billets. Il apporta ensuite une bouteille de champagne qu'elle accepta. Je détournais précipitemment les yeux de l'enveloppe et, en tournant la tête, vit qu'elle me fixait. Sa peau était parfaite, ses cheveux magnifiquement coiffés, elle semblait tout droit sortie d'un film. Elle avait l'air d'avoir beaucoup de gouts, ses vétements étaient d'une tenue impeccable. Elle me proposa de boire et manger un coup avec elle et j'acceptais, remettant une mèche de cheveux en face. Elle était étrange, non pas dans sa façon d'être mais dans sa façon de procéder, de faire ressentir les choses. Le serveur apporta deux coupes, qu'il rempli, avant de s'éclipser. Je saisi celle qu'elle me tendait et on trinqua. J'en bu deux gorgées avant de la reposer sur le comptoir. Elle me fixait sans s'arrêter, ce qui en devenait presque génant. Tu t'appelles comment? je demandais pour entâmer la conversation. Elle me fessait une drôle d'impression rien qu'a la regarder.

Assise l'une près de l'autre, ma coupe de champagne dans la main, une gorgé descendant le long de ma gorge, le regard sur cette femme, j'étais en train de penser que cette jeune fille avait toutes les compétences et caractéristiques pour devenir une démone. Enfin elle me demanda comment je m'appelais, elle semblais gêner par mes regards persistant et insistant sur sa silhouette pourtant je ne détournais pas mon regard. C'est alors que je lui répondis -Blair Waldorf, ma chère et voue êtes ? Ajoutais-je avec ma voix somptueusement démoniaquement belle. Je glissa alors, ma main, délicatement avec ma manucure parfaites, dans mes cheveux long et soigneux, puis repris une gorger de champagne, puis je posa ma coupe avec soin sur le bar. -Et vous êtes ma chère ? Dis-je l'air curieuse.

Elle se présenta par son nom suivi de son prénom avant de remettre ses cheveux déjà parfaits en place. Elle me demanda ensuite, après avoir avalé un verre de champagne, comment je m'appellelais. Moi c'est June, je lui dit, un peu méfiante, avant de reprendre mon verre et d'en avaler une gorgée également. Mais je la reposais précipitemment après le regard qu'elle m'eu lancé, celui qui attendait la suite, qui la réclamait presque. June Joyce Collins Fanning, pour être précise, mais on dit que Fanning, je poursuivis avant de soutenir le regard qu'elle me lançait. Quelque chose m'attirait chez elle. Elle avait ce quelque chose qui retient l'attention, qui mérite un moment d'attention. Je poursuivis dans ma lancée, après avoir avalé une olive que contenait le petit récipient que le serveur cenait d'ammener. Et, euh, tu habites ici depuis longtemps? Je veux dire, je suis nouvelle moi, ici, je, je n'eu pas le temps de continuer qu'elle avait déjà commencer à me répondre.

Elle se présenta alors me donnant que son prénom, puis bu une gorgée de champagne dans son verre, et voyant mon regard persistant elle me donna son prénom et nom au complet. Puis elle avala une olive que le barman venait de poser dans un récipient sur le comptoir. Puis elle me demanda -Et, euh, tu habites ici depuis longtemps? Je veux dire, je suis nouvelle moi, ici, je... Elle n'eu pas le temps de finir sa phrases que je lui répondais déjà -hé bien oui cela fait déjà quelques temps que j'habite à San Diego, mais à la base je suis de New York. Puis elle s’excusa et me dit quelle s'absenter deux petite minute, elle partie au toilette et j'en profitais pour mettre de mon sang dans son verre, dans quelques heures elle serait comme moi une démone somptueuse. Puis elle revena pris une gorgée de champagne, puis une autre elle en fini sa son verre. Voilà l'effet que mon sang faisait au humain, il s'en délecter avec passion. Enfin elle se réinstalla sur son siège et June et moi continuèrent à blablater.

Elle affirma que ça fessait en effet quelques temps qu'elle s'y trouvait, mais qu'elle était néanmoins originaire de New-York. Je haussais un sourcil: ainsi venait de là son goût pour les belles choses. Je la priait ensuite de m'excuser et me dirigeais vers les toilettes. Je claquais la porte et ouvrit un robinet, posant mes mains sur le rebord. Je fulminais intérieurement. sa confiance en elle me fessait bouillir: c'était une vraie peste. Je me passais les mains sous le jet et les essuyait à l'aide de papier. Je me regardais dans le miroir et me remis un peu de rouge à lèvres. Puisque c'était ainsi, pourquoi ne pas lui dévoiler ma vraie nature? Je me doutais bien qu'elle devait penser de moi que j'étais la bonne petite sainte nitouche mais pourquoi pas s'amuser un peu? C'était ce qu'elle voulait, vrai? Je revint et m'assit sur ma chaise avant d'avaler une gorgée de champagne, au pire, c'était elle qui payait hein. Tu veux qu'on s'amuse un peu? je lui demandais en tenant mon verre dans une main, pianotant de l'autre sur le comptoir. Elle me lança un sourire suggestif et on commanda une bouteille de Bushmills. Le serveur nous apporta deux petits verres que je rempli. Un gage, un verre, je lui dit. J'avalais le mien cul sec et me levais. Je marchais en direction d'une table ou se trouvais une jeune femme de la haute société, très distinguée. Son sac était à terre. je me dirigeais droit dessus et fit mine de trébucher, arrosant son magnifique chandail Chanel par la même occasion. Oh, je suis désolée, je dis, prenant un air le plus sincère possible. J'ai shooté dans votre sac et, han je suis désolée. Elle se leva et me présenta ses excuses quant au fait que son sac se trouvait sur le passage. Je prit une serviette et commença à tamponner son chandail. Malheur, s'y trouvait une peu de sauce tomate. Je suis vraiment confuse, excusais-moi! je dis, me tordant de rire à l'intérieur: j'avais très bien vu la tache avant. Elle s'excusa également et me congédia. Je retournais au bar, sentant quelques regards tournés vers moi. Je me retournais et les gens détournèrent leurs yeux. Je me retournais vers Blair et lui sourit. A ton tour, je lui intima en poussant le verre dans sa direction.

-D'accord à mon tour ! Dis-je souriant gracieusement, mais que croyait cette petite humaine j'étais Blair Waldorf, l'indétrônable Queen B. C'est alors que je me levais et me dirigea vers un groupe de trois mec, qui bader tous sur moi je leurs murmurai quelques chose puis revint m'assoir, June me regardait l'air de dire mais qu'es ce quelle fout, je me mis à rire alors, puis les mecs arrivèrent se mettant face à nous, nous faisant un trip tease, nous étions toutes les deux pliée de rire en voyant leurs mouvement farfelu et à quelle point il était ridicule. L'heure tourner et je devais y aller, j'étais attendu ailleurs, je laissa ma carte de visite à June dans quelques jours elle aurait besoin de mon numéro, vu les changements quelle allait ressentir. Puis je partit la saluant avec grâce et alla à mon rendez vous.

Elle souria très poliment en s'exclamant qu'elle allait le faire. Elle se leva et se dirigea avec toute la grâce qu'elle dégageait vers un groupe de jeune magnifiques spécimens. Elle leur murmura quelques mots et revint vers moi en se déhanchant. Je l'interrogeais du regard alors qu'elle revenait vers moi. Elle rigola simplement avant de se raseoir. Les jeunes hommes s'approchèrent de nous et nous firent le show pendant plusieurs minutes. Nous nous tordions de rire, pensant tout haut qu'il étaitn tout à fait immatures. Elle les congédia ensuite et me dit qu'elle devait se rentrer. Je prit une mine peunaude mais elle me tendit une carte de visite. Je ma remerciais et elle quitta le bar. Je finis mon verre, la tête ommençait à me tourner légèrement. Je prit mes affaires et sortis du bar, sans aucun regard en arrière. J'espèrais qu'on alalit bientôt se revoir car au fond, elle était comme moi, une vraie peste.